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Le département de microbiologie du LNS collabore au projet END-VOC qui soutient la réponse globale à la COVID-19 et aux futures pandémies

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Le département de microbiologie du LNS collabore au projet END-VOC qui soutient la réponse globale à la COVID-19 et aux futures pandémies
2022 11-09

Le projet européen vise à évaluer la circulation et l’impact des variants émergents du SRAS-CoV-2 par l’étude de cohortes bien caractérisées à travers le monde.

Le projet END-VOC, financé par la Commission européenne, a pour but d’élucider la circulation et l’impact des variants actuels et émergents du SRAS-CoV-2 (VOC) par l’étude de cohortes bien établies dans le monde entier. La réunion de lancement du projet organisée par l’University College London (UCL), le coordinateur du projet, s’est tenue virtuellement du 16 au 18 mai avec la participation de tous les partenaires, y compris le LNS, qui dirige ou codirige plusieurs tâches des work packages du projet.

END-VOC : 19 partenaires, 28 cohortes dans 23 pays, 5 domaines clés

Le consortium END-VOC est composé de 19 partenaires avec des cohortes en Europe (Royaume-Uni, Espagne, Italie, Allemagne, Pays-Bas, Norvège, Luxembourg, Suisse), en Amérique du Sud (Brésil et Pérou), en Afrique (Mozambique, Afrique du Sud, Nigeria et 13 pays dans l’essai ANTICOV), au Moyen-Orient (Palestine) et en Asie (Inde, Pakistan, Philippines). En utilisant les données de 28 cohortes bien établies dans ces pays, le projet de trois ans se concentrera sur cinq domaines clés : i) détecter et caractériser les variants viraux émergents ; évaluer leur capacité à ii) échapper à l’immunité induite par les vaccins ou à provoquer des réinfections, iii) échapper aux traitements actuels, iv) provoquer un COVID long ; ainsi que v) fournir des recommandations pour mieux se préparer et répondre aux futures épidémies de maladies infectieuses.

Au cours de cette réunion de trois jours, les chercheurs ont discuté de la manière dont ils prévoient de mener à bien les différentes tâches décrites dans le projet, et ont souligné l’importance d’adapter certaines des questions de recherche à l’évolution rapide de la situation de la pandémie. Le projet a reçu un financement de près de 10 millions d’euros.

 

Consortium END-VOC :

University College London, Royaume-Uni (chef de file)

Laboratoire national de santé, Luxembourg

Fondazione IRCCS Ca’ Granda Ospedale Maggiore Policlinico, Italie

Università Degli Studi Di Milano, Italie

Universitatsklinikum Heidelberg, Allemagne

Instituto de Salud Global de Barcelona, Espagne

Institut Universitari per la Recerca a l’Atencio Primaria de Salut Jordi Gol i Gurina, Espagne

Folkehelseinstituttet (Institut norvégien de santé publique), Norvège

Stichting Amsterdam Institute for Global Health and Development, Pays-Bas

Centre de contrôle des maladies du Nigeria

Université de Genève, Suisse

Fondation pour la santé publique de l’Inde

Laboratoire National De Santé, Luxembourg

Arab American University Palestine

Institut D’investigació En Ciencias De La Salut Germans Trias I Pujol, Espagne

Fondation Dopasi, Pakistan

Université des Philippines

Fundacao Manhica, Mozambique

Initiative Médicaments pour les maladies négligées, Suisse

Fundação Oswaldo Cruz, Brésil

 

Entités affiliées :

Hospital Clinic De Barcelona, Espagne

Institut Català De La Salut, Espagne